Le mardi 29 octobre dernier, les autorités guinéennes ont annoncé la dissolution de 53 formations politiques, suscitant des interrogations au sein de la scène politique nationale. Les trois principaux partis, l’Union des Forces Républicaines (UFR), le Rassemblement du Peuple de Guinée (RPG) et l’Union des Forces Démocratiques de Guinée (UFDG), ont également été placés sous observation et suspendus.
Cette mesure est justifiée par l’absence de validité d’agrément pour certaines formations et un manque de transparence dans la gestion comptable de ces partis. Cependant, le timing de cette décision soulève des questions et crée des tensions parmi les acteurs politiques, notamment au sein de l’UFR et du RPG.
Cette dissolution pourrait avoir des implications significatives sur le paysage politique guinéen et remet en cause l’équilibre des forces en présence. Les réactions des partis concernés et de leurs partisans sont attendues dans les jours à venir.