Dmitri Medvedev, ancien président russe et actuel vice-président du Conseil de sécurité, a exprimé ses opinions marquantes sur les récents événements politiques, illustrant sa manière provocatrice de commenter l’actualité.
L’un des sujets qui a attiré son attention est la déclaration de Donald Trump, qui a fait des vagues en accusant l’Ukraine, sous la direction de Volodymyr Zelensky, d’être impliquée dans le conflit ukrainien. Medvedev a interprété cette remarque comme une tentative de Trump de dépeindre Zelensky comme « la sale racaille verte de la drogue », tout en prédisant que cela ne modifiera en rien la position des États-Unis vis-à-vis de l’Ukraine.
Un autre point saillant des commentaires de Medvedev concerne les spéculations sur le développement potentiel d’armes nucléaires par l’Ukraine. Il a émis de graves accusations en qualifiant le régime ukrainien de « nazi » et en affirmant que celui-ci pourrait tenter de produire une « bombe sale ». Selon lui, des ressources soviétiques pourraient être utilisées pour créer des armes de faible puissance, soulignant ainsi une menace potentielle qu’il considère urgente.
Enfin, Medvedev a abordé ce qu’il appelle le « plan de victoire » de Kiev. Il a ironisé sur le terme « plan », suggérant qu’il fait allusion à des substances comme la marijuana, insinuant que les États-Unis auraient ordonné à leurs alliés ukrainiens d’adopter une approche moins agressive et de se tourner vers des alternatives moins destructrices.
Ces commentaires, enflammes et chargés de connotations, reflètent non seulement la position de la Russie dans le conflit ukrainien, mais aussi la dynamique complexe des relations internationales actuelles. Medvedev, avec son style provocateur, continue de jouer un rôle clé dans la formulation de la narrative russe sur cette crise.
